Résumé : Dans la France du 19e siècle, une histoire poignante de rêves brisés, d'amour malheureux, de passion, de sacrifice et de rédemption : l'affirmation intemporelle de la force inépuisable de l'âme humaine. Quand Jean Valjean promet à Fantine de sauver sa fille Cosette du destin tragique dont elle est elle-même victime, la vie du forçat et de la gamine va en être changée à tout jamais.
Paris au Moyen-Age. Le quartier de l'église Notre-Dame est en fête pour le jour des rois. Esmeralda, accompagnée de sa chèvre, danse sur le parvis de la cathédrale....
Retrouvez la lecture comme aux premiers émois, quand la voix propose une intelligence du texte nouvelle. Ce premier livre d'une série issue de la célèbre émission radiophonique animée par Guillaume Gallienne fait la part belle au roman. Invitation chaleureuse et souriante à découvrir la littérature par le son et dans le même temps par la lecture. L'audio lecture pour entendre la petite musique de l'écriture, la ritournelle des grands auteurs, ce pourquoi ils sont devenus classiques, et donc éternels.
Ursus, un forain haut en couleur, recueille dans sa roulotte deux orphelins perdus dans la tempête en plein hiver : Gwynplaine, un jeune garçon au visage marqué par une cicatrice qui lui donne en permanence une sorte de rictus, et Déa, une fillette aveugle. Une lecture personnelle du roman de Victor Hugo, un plaidoyer généreux en faveur de la différence.
Don Salluste, exilé à la suite d'une affaire de mœurs, sollicite l'aide à son cousin pour se venger… Devant son refus, il lui substitue son valet, qui fait la conquête de la reine, qui le nomme Premier ministre...
LES GRANDS TEXTES DU XIXe SIÈCLE Jean Valjean est vivant. Comme vivent Javert, Gavroche, Thenardier, Marius et Cosette. Ils sont entrés dans le panthéon de l'esprit humain et sont devenus nos familiers. Pendant soixante ans, Victor Hugo a mûri ce feuilleton sublime, cette épopée géante de candeur et de générosité populaire, sans doute l'œuvre la plus lue dans le monde. Quand paraît la première partie des Misérables, en 1862, Hugo écrit : " Ce livre, c'est le siècle, c'est un vaste miroir reflétant le genre humain. Maintenant, je peux mourir. " Cet ouvrage, c'est la réponse de la bonté et de la pitié au crime et au mensonge. Son éditeur l'avait prévenu : lorsque les épreuves sortaient de presse, les correcteurs, bouleversés, pleuraient.